Exposition permanente

Les couleurs de l’Océan

Stiamo lavorando con una nuova generazione di artisti che pongono la biodiversità e la natura al centro della loro pratica artistica. Per loro l’ecologia è molto più di un tema nel lavoro, esprime il loro rapporto con il mondo e le loro convinzioni e valori. In questa mostra permanente, Fifthwall premia 10 artisti e un collettivo che, con il loro lavoro, mettono in evidenza questi temi e li portano nel discorso pubblico. Attraverso l’arte, Fifthwall vuole promuovere una consapevolezza collettiva delle principali sfide ecologiche e delle soluzioni a questi problemi vitali.

ALEX TURCO

Alex Turco est né à Udine, en Italie, le 5 mars 1979. Durant son enfance, la sensibilité et le sens esthétique d’Alex ont été stimulés et encouragés par la passion transmise par son père. Il s’enthousiasme d’abord pour la photographie et se lance rapidement dans le graphisme, avant de se passionner pour la mode et le design artistique. Inspiré et influencé par la variété du monde artistique dans lequel il évolue, il a rassemblé toutes ses passions et expériences pour créer sa propre marque. Son inspiration vient de son amour pour la nature, les minéraux et les fossiles. Selon lui

« la nature est la meilleure des inspirations »

Green Poison

« GREEN POISON » est l’un des premiers tableaux créés par l’artiste Alex Turco il y a quinze ans. Les méduses, dans les différentes versions réalisées par Alex, est l’un de ses motifs le plus populaire. La résine appliquée capture et matérialise leurs mouvements hypnotiques. Dans le cadre de notre exposition, cette œuvre fait écho aux conséquences à venir de la hausse des températures de l’océan, ce qui favorise la prolifération des méduses.

MULYANA

Mulyana est un artiste indonésien connu pour son impressionnant travail au crochet inspiré par la vie océanique. Fortement attaché à l’écologie et à la spiritualité, il utilise ses œuvres pour explorer la nature et se connecter à la communauté. Ses valeurs et son engagement se développent autour de l’écologie et de l’inclusion des minorités. Il a notamment collaboré avec une communauté de femmes transgenres qui l’ont aidé dans son travail de crochet. À travers cette collaboration, Mulyana vise à soutenir les minorités et à les reintégrer dans la société.

Harmony 18

Tra le sue opere più note c’è un’installazione intitolata Sea Remembers, che raffigura la barriera corallina. Allo stesso tempo, ha creato una serie di opere, tra cui quella esposta nel nostro hotel, ispirate ai coralli e alla loro diversità di colori. La maggior parte delle opere di Mulyana sono colorate e luminose e illustrano la vita e la ricchezza marina. La serie « Bety », invece, è un’opera incolore, che utilizza solo tessuti bianchi e mette in evidenza i danni che l’inquinamento può avere sulla vita degli oceani.

CHARLES XELOT

Charles Xelot est né en France en 1985. Il vit et travaille actuellement à Moscou. Depuis quelques années, Charles Xelot explore les limites du développement de la société moderne. Il documente la relation entre l’homme et son environnement naturel et se concentre sur l’impact et les conséquences du mode de vie contemporain. Son intérêt pour les questions sociales et environnementales l’a conduit aux quatre coins du monde, tandis que son travail a progressivement évolué d’un style documentaire vers un style plus contemporain.

Crying Whale

La photographie a été prise sur les rives du détroit russe de Béring, dans le village de Lorino, où une petite communauté d’hommes survit grâce aux ressources de la mer. Leur principale source de nourriture est la chasse aux mammifères marins, morses et baleines, pour laquelle ils utilisent des pratiques traditionnelles et très peu de moyens.

« Le portrait est-il un moyen d’immortaliser, de fixer un présent impalpable ? La vie et la mort font partie d’un cycle naturel, tuer pour survivre est une chose courante. Sommes-nous, en tant qu’espèce, allés trop loin dans notre volonté de survie ? Cette image symbolise ces questions. »

GERLANDA DI FRANCIA

Gerlanda Di Francia a toujours été fascinée par le monde du tatouage qui lui a apporté une nouvelle vision des images, des symboles et de la construction des formes. Le désir de connaître de nouvelles formes d’expression picturale l’a conduite dans le monde du Lowbrow art et du surréalisme Pop. Son travail s’inspire de thèmes contemporains et utilise des techniques classiques. Son imagerie est souvent suspendue entre le graphisme du tatouage, l’illustration et l’icône sacrée.

Filicudi

Quest’opera d’arte chiamata Filicudi rappresenta una leggenda raccontata dagli abitanti dell’isola di Salina. Si dice che il Dio Aeloo difenda la Grotta del Bue Marino, che ospita un’enorme foca. Alla fine di ogni estate, la foca incontrava la sirena Amanda per rinnovare la sua promessa d’amore. Ogni anno, i pescatori si recano alla grotta per cantare melodie alla sirena e al suo amante.

In passato, i nostri antenati (in tutto il mondo) consideravano gli elementi come divinità o forze divine e nutrivano un profondo rispetto per la natura, che purtroppo abbiamo progressivamente perso nel tempo. Per ripristinare il nostro legame con la natura e favorire un maggiore rispetto per l’ambiente, dovremmo adottare un approccio meno materialista e orientarci verso un approccio più spirituale e mistico nei confronti degli elementi della natura?

Collaborazione con la cantautrice Alice Pelle (Musica) :

GIULIA PIERMARTIRI & EDOARDO DELILLE

Edoardo Delille è nato a Firenze nel 1974 e studia fotografia alla Fondazione Marangoni. I suoi primi incarichi riguardano la moda e la pubblicità. In seguito ha iniziato a raccontare storie attraverso i ritratti. Gli piacciono soprattutto i viaggi, la luce del Mediterraneo, i quadri di Magritte e l’esplorazione dei confini.

Giulia Piermartiri è nata nel 1990 a Porto Sant’Elpidio, una piccola città sulla costa adriatica italiana. Ha studiato fotografia alla Fondazione Studio Marangoni di Firenze. Ama viaggiare e raccontare attraverso la fotografia le storie che incontra.

Pour plus d’information: Giulia Piermartiri & Edoardo Delille

Diving Maldives

Le Maldive detengono il primato di Paese più basso del mondo. Secondo i dati forniti dalle Nazioni Unite, le isole maldiviane, con una media di appena mezzo metro sul livello del mare, potrebbero essere già parzialmente sommerse dalle acque entro la fine del secolo. Sarà il primo Stato al mondo a scomparire per le conseguenze del cambiamento climatico. Il progetto Diving Maldives è un viaggio nelle isole abitate solo dai maldiviani. I due artisti hanno raccolto una serie di tipiche foto subacquee scattate dai turisti e le hanno proiettate come diapositive nelle strade e nelle case degli abitanti delle diverse isole che hanno visitato. Una proiezione reale ma soprattutto metaforica di un futuro non troppo lontano che incombe sulla loro vita quotidiana.

STELLA TASCA

Nata nel 1977, Stella Tasca vive e lavora a Roma. Ha studiato al Primo Liceo Artistico e all’Accademia di Belle Arti di Roma. Tra le sue opere principali, la figura della matrioska o le lightbox che raffigurano santi dissacranti. Il suo tratto distintivo è sicuramente l’uso di colori fluorescenti e la rielaborazione di figure pop esistenti: li reinterpreta, li distorce e dà loro nuove prospettive, nuovi luoghi temporali.

Matrioska “il giardino delle Eolie”

En 2006, l’idée est née de réinterpréter l’iconographie de la matryoshka russe originale et de la transformer en une esthétique plus conceptuelle et moderne. Cette œuvre particulière est le résultat d’une collaboration en 2019 avec la galerie Amanei de Salina (10 pièces en édition limitée). Chaque matrioska représentait une caractéristique typique de la région. Celle-ci raconte spécifiquement la beauté naturelle de l’île de Salina appelée « le jardin des îles Éoliennes », connue pour son extraordinaire richesse en câpres, figues de barbarie, oliviers, vignobles, myrtes, et bien sûr citrons, fruit typique de la Sicile. Cela nous rappelle que la vie au-dessus de la mer dépend de l’eau et qu’il existe une interconnexion étroite entre les deux écosystèmes qui ne font qu’un.

JOSHUA LAMBUS

Joshua Lambus est un photographe connu pour son approche immersive de la photographie sous-marine et d’aventure. Basé sur la Grande île d’Hawaï, ses océans, ses grottes et ses canyons l’ont amené à rechercher une connexion plus profonde avec les grands inconnus de la vie. Actif dans la conservation de l’environnement et de la culture, il déclare :

« Voir notre fragile écosystème se rapprocher de plus en plus du bord de la destruction me pousse à poursuivre mon travail, non seulement pour sa valeur artistique, mais aussi pour un objectif bien plus grand. J’espère pouvoir raconter une histoire et demander de l’aide pour ceux qui n’ont pas de voix. »

Underneath swimmers

Underneath Swimmers offre una prospettiva dal fondo dell’oceano alla superficie. In una scena armoniosa, illustra un gruppo di nuotatori come parte dell’elemento, proprio come un banco di pesci.

Questa immagine riecheggia la Grotta del Nuotatore, una pittura rupestre scoperta in Egitto nel mezzo del deserto. Come testimonianza, ci ricorda i rischi di desertificazione delle zone umide che si sono verificati in passato.

ENZO MARI

Enzo Mari était un artiste italien post-moderniste qui a influencé plusieurs générations de designers industriels. Né en 1932 dans une famille modeste, il a appris le design en autodidacte. Il voulait « créer des modèles pour une société différente » et affirmait que le design devait être accessible à tous. Ses objets étaient élégants, fonctionnels et permettaient une connexion avec les utilisateurs. Avant-gardiste, il a conçu des objets respectueux de l’environnement, utilisant des bouteilles recyclées pour créer des vases. Il a déclaré:

« Il serait utile de promouvoir une acceptation générale du principe selon lequel l’éthique devrait guider toutes les formes de design. »

16 Pesci

16 Pesci est le résultat d’une collaboration entre Mari et le studio de design Danese Milano. Ce puzzle (exposé sous forme de dessin dans notre hôtel) a été découpé dans un seul bloc de bois et est composé de 16 animaux marins : 12 poissons, 3 mammifères et 1 mollusque. Les 16 poissons assemblés forment un puzzle, séparés ils peuvent former de nombreuses compositions. Pour Enzo Mari, l’aspect ludique d’un objet était aussi important que sa forme et sa fonction. Cette œuvre d’art représente la connexion que nous pouvons voir dans la nature formant un tout et que tout et tous dépendent les uns des autres.

SIMONA CAPITINI

Simona Capitini est née à Florence en 1964 Elle a étudié à l’Académie des Beaux-Arts de Bari et de Florence et s’est spécialisée à la RUFA, l’Université des Beaux-Arts de Rome. Elle a commencé à peindre dès son plus jeune âge et a remporté plusieurs concours de peinture. Travaillant avec des teintes bleues, elle peint surtout de grandes toiles abstraites représentant des fonds marins.

« Disons que j’appartiens à l’eau et que je sais en saisir toutes les nuances. Depuis que je suis toute petite, j’aime nager dans la mer pendant des heures et même très loin au large, comme si je ne faisais qu’un avec elle. Je n’avais même pas peur de la haute mer Quand j’ai eu 30 ans, j’ai eu l’occasion de rencontrer un berger tibétain qui m’a dit que dans une autre vie, j’étais peut-être un poisson ! »

Nelle profondità durante un temporale

Simona Capitini lavora su tavole di legno sulle quali applica strati di pittura senza tuttavia coprire l’intera base lignea. In questo modo, i pezzi di legno sembrano fondersi con i colori e le sfumature del blu, richiamando la complementarietà degli elementi e l’unità e l’interconnessione degli ecosistemi.

ALEX TURCO

Alex Turco est né à Udine, en Italie, le 5 mars 1979. Durant son enfance, la sensibilité et le sens esthétique d’Alex ont été stimulés et encouragés par la passion transmise par son père. Il s’enthousiasme d’abord pour la photographie et se lance rapidement dans le graphisme, avant de se passionner pour la mode et le design artistique. Inspiré et influencé par la variété du monde artistique dans lequel il évolue, il a rassemblé toutes ses passions et expériences pour créer sa propre marque. Son inspiration vient de son amour pour la nature, les minéraux et les fossiles. Selon lui

« la nature est la meilleure des inspirations »

Green Poison

« GREEN POISON » est l’un des premiers tableaux créés par l’artiste Alex Turco il y a quinze ans. Les méduses, dans les différentes versions réalisées par Alex, est l’un de ses motifs le plus populaire. La résine appliquée capture et matérialise leurs mouvements hypnotiques. Dans le cadre de notre exposition, cette œuvre fait écho aux conséquences à venir de la hausse des températures de l’océan, ce qui favorise la prolifération des méduses.

MULYANA

Mulyana est un artiste indonésien connu pour son impressionnant travail au crochet inspiré par la vie océanique. Fortement attaché à l’écologie et à la spiritualité, il utilise ses œuvres pour explorer la nature et se connecter à la communauté. Ses valeurs et son engagement se développent autour de l’écologie et de l’inclusion des minorités. Il a notamment collaboré avec une communauté de femmes transgenres qui l’ont aidé dans son travail de crochet. À travers cette collaboration, Mulyana vise à soutenir les minorités et à les reintégrer dans la société.

Harmony 18

Tra le sue opere più note c’è un’installazione intitolata Sea Remembers, che raffigura la barriera corallina. Allo stesso tempo, ha creato una serie di opere, tra cui quella esposta nel nostro hotel, ispirate ai coralli e alla loro diversità di colori. La maggior parte delle opere di Mulyana sono colorate e luminose e illustrano la vita e la ricchezza marina. La serie « Bety », invece, è un’opera incolore, che utilizza solo tessuti bianchi e mette in evidenza i danni che l’inquinamento può avere sulla vita degli oceani.

CHARLES XELOT

Charles Xelot est né en France en 1985. Il vit et travaille actuellement à Moscou. Depuis quelques années, Charles Xelot explore les limites du développement de la société moderne. Il documente la relation entre l’homme et son environnement naturel et se concentre sur l’impact et les conséquences du mode de vie contemporain. Son intérêt pour les questions sociales et environnementales l’a conduit aux quatre coins du monde, tandis que son travail a progressivement évolué d’un style documentaire vers un style plus contemporain.

Crying Whale

La photographie a été prise sur les rives du détroit russe de Béring, dans le village de Lorino, où une petite communauté d’hommes survit grâce aux ressources de la mer. Leur principale source de nourriture est la chasse aux mammifères marins, morses et baleines, pour laquelle ils utilisent des pratiques traditionnelles et très peu de moyens.

« Le portrait est-il un moyen d’immortaliser, de fixer un présent impalpable ? La vie et la mort font partie d’un cycle naturel, tuer pour survivre est une chose courante. Sommes-nous, en tant qu’espèce, allés trop loin dans notre volonté de survie ? Cette image symbolise ces questions. »

GERLANDA DI FRANCIA

Gerlanda Di Francia a toujours été fascinée par le monde du tatouage qui lui a apporté une nouvelle vision des images, des symboles et de la construction des formes. Le désir de connaître de nouvelles formes d’expression picturale l’a conduite dans le monde du Lowbrow art et du surréalisme Pop. Son travail s’inspire de thèmes contemporains et utilise des techniques classiques. Son imagerie est souvent suspendue entre le graphisme du tatouage, l’illustration et l’icône sacrée.

Filicudi

Quest’opera d’arte chiamata Filicudi rappresenta una leggenda raccontata dagli abitanti dell’isola di Salina. Si dice che il Dio Aeloo difenda la Grotta del Bue Marino, che ospita un’enorme foca. Alla fine di ogni estate, la foca incontrava la sirena Amanda per rinnovare la sua promessa d’amore. Ogni anno, i pescatori si recano alla grotta per cantare melodie alla sirena e al suo amante.

In passato, i nostri antenati (in tutto il mondo) consideravano gli elementi come divinità o forze divine e nutrivano un profondo rispetto per la natura, che purtroppo abbiamo progressivamente perso nel tempo. Per ripristinare il nostro legame con la natura e favorire un maggiore rispetto per l’ambiente, dovremmo adottare un approccio meno materialista e orientarci verso un approccio più spirituale e mistico nei confronti degli elementi della natura?

Collaborazione con la cantautrice Alice Pelle (Musica) :

GIULIA PIERMARTIRI & EDOARDO DELILLE

Edoardo Delille è nato a Firenze nel 1974 e studia fotografia alla Fondazione Marangoni. I suoi primi incarichi riguardano la moda e la pubblicità. In seguito ha iniziato a raccontare storie attraverso i ritratti. Gli piacciono soprattutto i viaggi, la luce del Mediterraneo, i quadri di Magritte e l’esplorazione dei confini.

Giulia Piermartiri è nata nel 1990 a Porto Sant’Elpidio, una piccola città sulla costa adriatica italiana. Ha studiato fotografia alla Fondazione Studio Marangoni di Firenze. Ama viaggiare e raccontare attraverso la fotografia le storie che incontra.

Pour plus d’information: Guilia Piermartiri & Edoardo Delille

Diving Maldives

Le Maldive detengono il primato di Paese più basso del mondo. Secondo i dati forniti dalle Nazioni Unite, le isole maldiviane, con una media di appena mezzo metro sul livello del mare, potrebbero essere già parzialmente sommerse dalle acque entro la fine del secolo. Sarà il primo Stato al mondo a scomparire per le conseguenze del cambiamento climatico. Il progetto Diving Maldives è un viaggio nelle isole abitate solo dai maldiviani. I due artisti hanno raccolto una serie di tipiche foto subacquee scattate dai turisti e le hanno proiettate come diapositive nelle strade e nelle case degli abitanti delle diverse isole che hanno visitato. Una proiezione reale ma soprattutto metaforica di un futuro non troppo lontano che incombe sulla loro vita quotidiana.

STELLA TASCA

Nata nel 1977, Stella Tasca vive e lavora a Roma. Ha studiato al Primo Liceo Artistico e all’Accademia di Belle Arti di Roma. Tra le sue opere principali, la figura della matrioska o le lightbox che raffigurano santi dissacranti. Il suo tratto distintivo è sicuramente l’uso di colori fluorescenti e la rielaborazione di figure pop esistenti: li reinterpreta, li distorce e dà loro nuove prospettive, nuovi luoghi temporali.

Matrioska “il giardino delle Eolie”

En 2006, l’idée est née de réinterpréter l’iconographie de la matryoshka russe originale et de la transformer en une esthétique plus conceptuelle et moderne. Cette œuvre particulière est le résultat d’une collaboration en 2019 avec la galerie Amanei de Salina (10 pièces en édition limitée). Chaque matrioska représentait une caractéristique typique de la région. Celle-ci raconte spécifiquement la beauté naturelle de l’île de Salina appelée « le jardin des îles Éoliennes », connue pour son extraordinaire richesse en câpres, figues de barbarie, oliviers, vignobles, myrtes, et bien sûr citrons, fruit typique de la Sicile. Cela nous rappelle que la vie au-dessus de la mer dépend de l’eau et qu’il existe une interconnexion étroite entre les deux écosystèmes qui ne font qu’un.

JOSHUA LAMBUS

Joshua Lambus est un photographe connu pour son approche immersive de la photographie sous-marine et d’aventure. Basé sur la Grande île d’Hawaï, ses océans, ses grottes et ses canyons l’ont amené à rechercher une connexion plus profonde avec les grands inconnus de la vie. Actif dans la conservation de l’environnement et de la culture, il déclare :

« Voir notre fragile écosystème se rapprocher de plus en plus du bord de la destruction me pousse à poursuivre mon travail, non seulement pour sa valeur artistique, mais aussi pour un objectif bien plus grand. J’espère pouvoir raconter une histoire et demander de l’aide pour ceux qui n’ont pas de voix. »

Underneath swimmers

Underneath Swimmers offre una prospettiva dal fondo dell’oceano alla superficie. In una scena armoniosa, illustra un gruppo di nuotatori come parte dell’elemento, proprio come un banco di pesci.

Questa immagine riecheggia la Grotta del Nuotatore, una pittura rupestre scoperta in Egitto nel mezzo del deserto. Come testimonianza, ci ricorda i rischi di desertificazione delle zone umide che si sono verificati in passato.

ENZO MARI

Enzo Mari était un artiste italien post-moderniste qui a influencé plusieurs générations de designers industriels. Né en 1932 dans une famille modeste, il a appris le design en autodidacte. Il voulait « créer des modèles pour une société différente » et affirmait que le design devait être accessible à tous. Ses objets étaient élégants, fonctionnels et permettaient une connexion avec les utilisateurs. Avant-gardiste, il a conçu des objets respectueux de l’environnement, utilisant des bouteilles recyclées pour créer des vases. Il a déclaré:

« Il serait utile de promouvoir une acceptation générale du principe selon lequel l’éthique devrait guider toutes les formes de design. »

16 Pesci

16 Pesci est le résultat d’une collaboration entre Mari et le studio de design Danese Milano. Ce puzzle (exposé sous forme de dessin dans notre hôtel) a été découpé dans un seul bloc de bois et est composé de 16 animaux marins : 12 poissons, 3 mammifères et 1 mollusque. Les 16 poissons assemblés forment un puzzle, séparés ils peuvent former de nombreuses compositions. Pour Enzo Mari, l’aspect ludique d’un objet était aussi important que sa forme et sa fonction. Cette œuvre d’art représente la connexion que nous pouvons voir dans la nature formant un tout et que tout et tous dépendent les uns des autres.

SIMONA CAPITINI

Simona Capitini est née à Florence en 1964 Elle a étudié à l’Académie des Beaux-Arts de Bari et de Florence et s’est spécialisée à la RUFA, l’Université des Beaux-Arts de Rome. Elle a commencé à peindre dès son plus jeune âge et a remporté plusieurs concours de peinture. Travaillant avec des teintes bleues, elle peint surtout de grandes toiles abstraites représentant des fonds marins.

« Disons que j’appartiens à l’eau et que je sais en saisir toutes les nuances. Depuis que je suis toute petite, j’aime nager dans la mer pendant des heures et même très loin au large, comme si je ne faisais qu’un avec elle. Je n’avais même pas peur de la haute mer Quand j’ai eu 30 ans, j’ai eu l’occasion de rencontrer un berger tibétain qui m’a dit que dans une autre vie, j’étais peut-être un poisson ! »

Nelle profondità durante un temporale

Simona Capitini lavora su tavole di legno sulle quali applica strati di pittura senza tuttavia coprire l’intera base lignea. In questo modo, i pezzi di legno sembrano fondersi con i colori e le sfumature del blu, richiamando la complementarietà degli elementi e l’unità e l’interconnessione degli ecosistemi.

Capri, Fukushima with a stop in Marmara

Installation

Dans le cadre de l’exposition permanente proposée au Marina Gardens Boutique sur la thématique des couleurs de l’océan, FIFTHWALL a réuni un groupe de collaborateurs artistiques locaux, dont un architecte et une graphiste, pour développer une installation autour de cette thématique. Les membres du collectif sont Benedeta Basti, Gabriele Testa et Leonardo Castellana.

Le projet a évolué autour de la matérialité et de la couleur des océans. Il traite plus spécifiquement de la pollution des océans, sous plusieurs formes : pollution plastiques, chimiques ou plus pernicieuse et invisible celle due aux matériaux radioactifs comme l’uranium ou le plutonium.

L’exposition ainsi que l’installation vise à faire progresser la prise de conscience que chacun d’entre nous à un rôle à jouer aussi petit soit-il. En effet aujourd’hui les initiatives privées ou à petite échelle contribuent efficacement à la résolution d’une partie du problème et mises bout à bout elles ont un impact considérable et parfois plus concret que les mesures d’infrastructures de politique publique qui tardent à se matérialiser.

CAPRI

Chaque jour, des milliers de tonnes de plastique sont déversées dans les océans. Alors qu’une petite partie de ces déchets flotte à la surface, le reste se désintègre en microparticules et s’infiltre partout. Entrainés par la neige marine, le micro plastique dépose une quantité importante de carbone dans les profondeurs, ce qui impacte le système de régulation des océans. Par ailleurs, le micro plastique est également ingéré par de nombreuses espèces marines qui le transportent tout le long de la chaine alimentaire, jusque dans nos assiettes.

A l’échelle globale, la mer Méditerranée détient le record de pollution. En effet, on compte près de 1,25 million de fragments micro plastique par kilomètre carré. L’importante affluence des touristes constitue une part considérable du problème, puisqu’on estime que chaque été, cela engendrerait une augmentation de 40% de déchets.

Parmi les initiatives entreprises en mer Méditerranée, l’association Legambiente coordonne la campagne Clean-up the Med qui organise de nombreuses opérations de nettoyage de plages. Lors de leur dernière édition en mai 2022, près de 500’000 volontaires ont récolté environ 800’000 tonnes de déchets sur 160’000 km de plages. Des chiffres impressionnants qui témoignent de la force du collectif et démontrent l’importance des petits gestes qui, mis bout à bout, ont un impact considérable.

En parallèle, les institutions publiques ont aussi un rôle à jouer et c’est le plus souvent au niveau local que les actions concrète se mettent en place. A Capri par exemple, une petite île au large de la côte italienne, la municipalité a introduit en 2019 une loi interdisant l’utilisation de plastique à usage unique. Cette décision était inédite en matière de politique environnementale européenne et a précédé la mise en place d’une loi similaire, mais moins stricte, au niveau Européen.

FIFTHWALL MANIFESTO :

Les actions locales et individuelles sont essentielles pour résoudre le problème de pollution plastique. Au niveau politique, les actions les plus concrètes sont plus faciles à mettre en place à petite échelle, car elles impliquent moins d’acteurs et connaissent moins d’obstacles. Au niveau individuel, il est important de se rappeler que chaque contribution compte et que les petites actions cumulées ont parfois plus d’effet que les mesures prise à trop grande échelle.

FUKUSHIMA

En mars 2011, un des séismes les plus violent jamais enregistré a secoué le Japon. A Fukushima, les centrales nucléaires se sont arrêtées dès les premières secousses mais cela n’empêchera pas la catastrophe. Un tsunami, puis une suite de défauts techniques et d’erreurs humaines provoquèrent la libération d’une quantité importante de particules radioactives dans l’air et dans l’océan.

Bien que cet accident ait été déclenché par une cause naturelle, la catastrophe nucléaire qui s’en est suivi est bien d’origine humaine et vient de la mauvaise appréciation du risque et de la négligence dont ont fait preuve les institutions et les acteurs de l’industrie.

L’océan et la vie marine environnante ont été gravement impactés par cet incident et le niveau de radiation sur les côtes de Fukushima a explosé. Aujourd’hui, le Japon se retrouve avec plus d’un million de tonnes d’eau contaminée stockée dans près de 1 000 réservoirs. Face à ce problème, le gouvernement japonais a annoncé en 2021 qu’ils planifiaient de déverser cette eau contaminée dans l’océan, ce qui a déclenché de nombreuses critiques et oppositions.

Les déversements d’eaux polluées à l’uranium ne sont pas seulement le fait d’État. En Italie par exemple, les organisations mafieuses auraient fait couler en Calabre plusieurs bateaux transportant des barils de déchets radioactifs et en particulier du plutonium, polluant ainsi les côtes limitrophes où demeurent les mafieux et leur famille et hypothéquant gravement leur santé. Mais à un niveau global et à plus large échelle ne reproduisons-nous pas ces comportements irresponsables en polluant les écosystème marin ?

FIFTHWALL MANIFESTO :

Aujourd’hui, sans législation internationale contraignante, les politiques et les États oublient souvent que l’eau ne s’arrête pas aux frontières et que les eaux polluées déversées dans les rivières, les mers et les océans ont un impact global. Il est urgent et nécessaire de mettre en place une législation internationale qui appréhende la haute mer comme bien juridique protégé et qui délimite clairement les comportements prohibés. Aussi longtemps que ces écosystèmes vitaux ne bénéficieront pas d’une protection juridique internationales, elles resteront des zones de non droit.

MARMARA

En avril 2021, une impressionnante couche de mousse, appelée mucilage, ou plus populairement « morve de mer », a recouvert les côtes de la mer de Marmara, en Turquie. Cette mousse résulte d’une sécrétion naturelle de micro-organisme et de phytoplanctons. D’ordinaire, le mucilage n’est pas aussi excessif et est rapidement consommé par les espèces marines. Mais cette année-là, à cause de la pollution, l’épaisse mousse a empêché la mer de s’oxygéner, étouffant peu à peu toutes les espèces marines qui se trouvaient en-dessous.

« Selon les scientifiques, la pollution, le changement climatique (le phytoplancton se développe dans les eaux chaudes) et la croissance incontrôlée d’Istanbul sont à blâmer. Le rejet de rivières encombrées d’eaux de ruissellement agricoles et industrielles semble avoir poussé le phytoplancton à se répandre et à rejeter plus de mucilages que d’habitude. »

En réponse à cette crise, le gouvernement turc a déclaré la mer de Marmara zone protégée, permettant ainsi d’imposer des standards plus stricts en matière de gestion des déchets et de sanctionner ou suspendre les activités polluantes. Même si ces initiatives vont dans le bon sens, leur mise en place prend du temps et aujourd’hui encore, en Turquie seule la moitié des eaux sont traitée biologiquement.

A un niveau mondial, selon un rapport de l’UNESCO, 80% des eaux usées sont rejetées dans l’environnement sans traitement. En effet, bien que quelques pays ait déjà mis en place des systèmes efficaces de traitement des eaux, la majorité continuent de déverser leurs eaux polluées dans les rivières, les mers ou les océans.

FIFTHWALL MANIFESTO :

Aujourd’hui, les États ont tendance à se focaliser sur le problème au niveau local uniquement. Pourtant la pollution des eaux est un problème global car l’eau ne s’arrête pas aux frontières et les efforts entrepris n’ont de sens que si une approche globale et coordonnée est mise en place aux travers d’une réelle coopération internationale. Ainsi pour que tout le monde coopère, il est essentiel que chacun prenne conscience de la préciosité et de l’importance vitale de l’eau.

« Capri, Fukushima with a stop in Marmara »

Installation

Dans le cadre de l’exposition permanente proposée au Marina Gardens Boutique sur la thématique des couleurs de l’océan, FIFTHWALL a réuni un groupe de collaborateurs artistiques locaux, dont un architecte et une graphiste, pour développer une installation autour de cette thématique. Les membres du collectif sont Benedeta Basti, Gabriele Testa et Leonardo Castellana.

Le projet a évolué autour de la matérialité et de la couleur des océans. Il traite plus spécifiquement de la pollution des océans, sous plusieurs formes : pollution plastiques, chimiques ou plus pernicieuse et invisible celle due aux matériaux radioactifs comme l’uranium ou le plutonium.

L’exposition ainsi que l’installation vise à faire progresser la prise de conscience que chacun d’entre nous à un rôle à jouer aussi petit soit-il. En effet aujourd’hui les initiatives privées ou à petite échelle contribuent efficacement à la résolution d’une partie du problème et mises bout à bout elles ont un impact considérable et parfois plus concret que les mesures d’infrastructures de politique publique qui tardent à se matérialiser.

CAPRI

Chaque jour, des milliers de tonnes de plastique sont déversées dans les océans. Alors qu’une petite partie de ces déchets flotte à la surface, le reste se désintègre en microparticules et s’infiltre partout. Entrainés par la neige marine, le micro plastique dépose une quantité importante de carbone dans les profondeurs, ce qui impacte le système de régulation des océans. Par ailleurs, le micro plastique est également ingéré par de nombreuses espèces marines qui le transportent tout le long de la chaine alimentaire, jusque dans nos assiettes.

A l’échelle globale, la mer Méditerranée détient le record de pollution. En effet, on compte près de 1,25 million de fragments micro plastique par kilomètre carré. L’importante affluence des touristes constitue une part considérable du problème, puisqu’on estime que chaque été, cela engendrerait une augmentation de 40% de déchets.

Parmi les initiatives entreprises en mer Méditerranée, l’association Legambiente coordonne la campagne Clean-up the Med qui organise de nombreuses opérations de nettoyage de plages. Lors de leur dernière édition en mai 2022, près de 500’000 volontaires ont récolté environ 800’000 tonnes de déchets sur 160’000 km de plages. Des chiffres impressionnants qui témoignent de la force du collectif et démontrent l’importance des petits gestes qui, mis bout à bout, ont un impact considérable.

En parallèle, les institutions publiques ont aussi un rôle à jouer et c’est le plus souvent au niveau local que les actions concrète se mettent en place. A Capri par exemple, une petite île au large de la côte italienne, la municipalité a introduit en 2019 une loi interdisant l’utilisation de plastique à usage unique. Cette décision était inédite en matière de politique environnementale européenne et a précédé la mise en place d’une loi similaire, mais moins stricte, au niveau Européen.

FIFTHWALL MANIFESTO :

Les actions locales et individuelles sont essentielles pour résoudre le problème de pollution plastique. Au niveau politique, les actions les plus concrètes sont plus faciles à mettre en place à petite échelle, car elles impliquent moins d’acteurs et connaissent moins d’obstacles. Au niveau individuel, il est important de se rappeler que chaque contribution compte et que les petites actions cumulées ont parfois plus d’effet que les mesures prise à trop grande échelle.

FUKUSHIMA

En mars 2011, un des séismes les plus violent jamais enregistré a secoué le Japon. A Fukushima, les centrales nucléaires se sont arrêtées dès les premières secousses mais cela n’empêchera pas la catastrophe. Un tsunami, puis une suite de défauts techniques et d’erreurs humaines provoquèrent la libération d’une quantité importante de particules radioactives dans l’air et dans l’océan.

Bien que cet accident ait été déclenché par une cause naturelle, la catastrophe nucléaire qui s’en est suivi est bien d’origine humaine et vient de la mauvaise appréciation du risque et de la négligence dont ont fait preuve les institutions et les acteurs de l’industrie.

L’océan et la vie marine environnante ont été gravement impactés par cet incident et le niveau de radiation sur les côtes de Fukushima a explosé. Aujourd’hui, le Japon se retrouve avec plus d’un million de tonnes d’eau contaminée stockée dans près de 1 000 réservoirs. Face à ce problème, le gouvernement japonais a annoncé en 2021 qu’ils planifiaient de déverser cette eau contaminée dans l’océan, ce qui a déclenché de nombreuses critiques et oppositions.

Les déversements d’eaux polluées à l’uranium ne sont pas seulement le fait d’État. En Italie par exemple, les organisations mafieuses auraient fait couler en Calabre plusieurs bateaux transportant des barils de déchets radioactifs et en particulier du plutonium, polluant ainsi les côtes limitrophes où demeurent les mafieux et leur famille et hypothéquant gravement leur santé. Mais à un niveau global et à plus large échelle ne reproduisons-nous pas ces comportements irresponsables en polluant les écosystème marin ?

FIFTHWALL MANIFESTO :

Aujourd’hui, sans législation internationale contraignante, les politiques et les États oublient souvent que l’eau ne s’arrête pas aux frontières et que les eaux polluées déversées dans les rivières, les mers et les océans ont un impact global. Il est urgent et nécessaire de mettre en place une législation internationale qui appréhende la haute mer comme bien juridique protégé et qui délimite clairement les comportements prohibés. Aussi longtemps que ces écosystèmes vitaux ne bénéficieront pas d’une protection juridique internationales, elles resteront des zones de non droit.

MARMARA

En avril 2021, une impressionnante couche de mousse, appelée mucilage, ou plus populairement « morve de mer », a recouvert les côtes de la mer de Marmara, en Turquie. Cette mousse résulte d’une sécrétion naturelle de micro-organisme et de phytoplanctons. D’ordinaire, le mucilage n’est pas aussi excessif et est rapidement consommé par les espèces marines. Mais cette année-là, à cause de la pollution, l’épaisse mousse a empêché la mer de s’oxygéner, étouffant peu à peu toutes les espèces marines qui se trouvaient en-dessous.

« Selon les scientifiques, la pollution, le changement climatique (le phytoplancton se développe dans les eaux chaudes) et la croissance incontrôlée d’Istanbul sont à blâmer. Le rejet de rivières encombrées d’eaux de ruissellement agricoles et industrielles semble avoir poussé le phytoplancton à se répandre et à rejeter plus de mucilages que d’habitude. »

En réponse à cette crise, le gouvernement turc a déclaré la mer de Marmara zone protégée, permettant ainsi d’imposer des standards plus stricts en matière de gestion des déchets et de sanctionner ou suspendre les activités polluantes. Même si ces initiatives vont dans le bon sens, leur mise en place prend du temps et aujourd’hui encore, en Turquie seule la moitié des eaux sont traitée biologiquement.

A un niveau mondial, selon un rapport de l’UNESCO, 80% des eaux usées sont rejetées dans l’environnement sans traitement. En effet, bien que quelques pays ait déjà mis en place des systèmes efficaces de traitement des eaux, la majorité continuent de déverser leurs eaux polluées dans les rivières, les mers ou les océans.

FIFTHWALL MANIFESTO :

Aujourd’hui, les États ont tendance à se focaliser sur le problème au niveau local uniquement. Pourtant la pollution des eaux est un problème global car l’eau ne s’arrête pas aux frontières et les efforts entrepris n’ont de sens que si une approche globale et coordonnée est mise en place aux travers d’une réelle coopération internationale. Ainsi pour que tout le monde coopère, il est essentiel que chacun prenne conscience de la préciosité et de l’importance vitale de l’eau.